Le projet Venice Time Machine scanne mille ans d’histoire de la cité des Doges.
Les algorithmes clés qui ont rendu imaginable la collecte et le traitement massif de données remontent à l’année 2004, soit la naissance du mouvement Big Data. Peu d’informations antérieures à cette date sont utilisables par ces nouveaux outils de recherche. Or « il est urgent de que le passé devienne aussi accessible que le présent », lance Frédéric Kaplan, qui dirige le projet Venice Time Machine à l’Ecole Polytechnique de Lausanne (EPFL). Son ambition: découvrir des aspects méconnus de la cité des Doges grâce à la numérisation de ses archives et de ses oeuvres culturelles.
La tâche est titanesque: il faudra dix ans pour scanner mille ans d’histoire scrupuleusement gardés dans 327 salles d’archives…
… à lire dans le numéro d’octobre de Technologiste.eu.